mercredi 26 septembre 2012

j'ai rêvé de toi, papa...

cette nuit, j'ai rêvé de toi. tu étais à ton enterrement et tu nous demandais pourquoi il n'y avait rien de religieux...
alors que tu as toujours été contre.
tu ne réalisais pas que tu étais mort.
moi non plus je ne réalise pas, toujours une impression d'étrangeté.
c'est pas possible que tu soies parti...
l'impression que c'est une erreur, qu'on va me dire mais non, c'est pas vrai.
ça fait trop mal.
même si tu étais malade, très malade, même si c'est la meilleure chose pour toi.
ce sont ceux qui restent qui souffrent ensuite.
longtemps. physiquement, moralement.
tu me manques, papa.

2 commentaires:

  1. La douleur s'apaise, le temps aidant, mais le manque est toujours là.
    Je compatis, Célesthyne, je connais trop bien ce dont tu parles...

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  2. parfois elle s'apaise et parfois j'ai les larmes qui montent comme ça, sans crier gare... oh que ça fait mal.
    merci de ton message, ça réchauffe le coeur...

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